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Préparer Ponchon de demain
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L'INFORMATEUR N°6 (2eme semestre 2016)

  « L’INFORMATEUR»

N°6   -  2 eme semestre 2016

                                           Bulletin de la minorité municipale

 

 Rédacteurs : Jean-Claude GIRET  -  Gérard SOUFFLET  -  Claudine LEFEBVRE

 

 

Comme vous pouvez le constater depuis 2 ½ ans, « L’Informateur »  bulletin de l’opposition municipale s’efforce de vous apporter une autre vision de la vie de notre commune que celle dispensée par « La gazette de Ponchon ». Bien sûr le mieux pour vous serait d’assister aux réunions du conseil municipal qui sont publiques mais tous ne peuvent venir, chacun ayant ses occupations. En conséquence,  nous nous efforçons  d’être le plus fidèle possible à ce qu’il s’y dit, à ce qu’il s’y fait.

Le ton peut paraître acerbe, la forme trop critique voire polémique ce qui n’est pas notre intention. Notre seul objectif étant de vous fournir informations, révélations et réflexions pour éclairer votre jugement de telle manière que vous puissiez vous faire votre propre jugement..

 

 

ET NOUS, ET NOUS, …. ??

Lu dans « Le Parisien »  du 29 septembre 2016 : « Le prix moyen du M3 d’eau dans l’agglomération de la région de Compiègne / Noyon/ Crépy est de 2,12 euros. Il pourrait passer à 1,60 pour toutes les communes.    …/…  Les élus de l’agglomération sous la houlette de Mr Marini ont décidé de gérer eux-mêmes la distribution et l’assainissement avant le 31/12/2016. Une mesure d’anticipation puisque la loi NOTRe (nouvelle organisation de la République) impose aux agglos de prendre cette compétence au plus tard le 1er janvier 2018 ».

Rappelons que l’Agglo du Beauvaisis exerce déjà cette compétence ce qui permet déjà à nos voisins de Warluis ou d’Auteuil de payer bien moins cher que nous l’eau assainie..

Lu dans « Le Parisien » du 16 novembre 2016 : « La communauté de commune des Sablons sous la houlette de Mr Letellier s’apprête à lancer un chantier d’envergure pour les années prochaines (projet porté par le Syndicat mixte d’assainissement des Sablons, émanation de la CCS). Le but étant d’obtenir un équipement performant et moderne pour avoir un prix unique de 5 euros le M3 pour  les  14 communes rurales de la CCS ».

Et nous et nous, pauv’s Ponchonnais nous en sommes à 9 voire 10 euros le M3. L’agglo du Pays de Thelle sous la houlette de Mr Mancel ne pourrait-elle pas s’inspirer de ses voisines  sans attendre le dernier délai au risque de voir se tarir la source des éventuelles subventions ?

Et puisque l’on n’est jamais mieux servi que par soi-même nous pouvons espérer un adoucissement du prix de notre eau grâce à la vente des terrains sis au Larris et au lieu-dit parc Lacourt.

 

 VOIE PIETONNE de PIERREPONT à PONCHON

Revenons sur notre proposition de sécuriser la route entre pierrepont et Ponchon  par une voie piétonne (cf. « L’Informateur N°4 »). Mr le Maire a trouvé plein d’arguments pour rejeter notre projet. Mais nous insistons. Pourquoi dans un premier temps ne pas simplement acheter aux riverains une simple bande de terrain? ce qui permettrait dans un avenir plus ou moins lointain, avec l’espoir d’un conseil municipal plus à l’écoute, de reprendre le projet. Gagner du temps administratif n’est jamais peine perdue.

Sur ce sujet voyez ce qui c’est fait entre Berthecourt et Hermes, entre Mattencourt et Abbecourt et plus récemment entre Villers et le hameau de Hez. Pourquoi est ce possible ailleurs et pas à Ponchon ?

 

ET LA LUMIERE FUT

Modernisation de l’éclairage public à la demande du syndicat d’électricité sur 72 luminaires et 5 armoires. En fait de modernisation, Mr le Maire souhaite que l’on conserve l’éclairage aux lampes sodium/orange. Heureusement l’ensemble du conseil municipal opte pour des lampes LED.

Mieux : nous aurons 2 lanternes d’agrément devant la mairie. Ce n’est que le début du début : continuons l’embellissement de Ponchon comme il en est dans tous les villages voisins. Reste à faire accepter l’enfouissement des lignes électriques et la suppression des poteaux béton. Ce n’est pas gagné !!!!!

 

INVENTAIRE MUNICIPAL

Que se cache-t-il dans le bâtiment municipal situé face au cimetière ? ou en d’autres termes : quel matériel est mis à la disposition des employés municipaux pour entretenir notre commune ? Allons à la chasse aux trésors.

Mr MERLIN en tant que 1er adjoint  chargé des travaux s’est évertué avec l’accord du Maire à doter la commune de matériel …….. mais pas toujours top et pas toujours à bon escient. Qu’on en juge :

-       une broyeuse ……. Qui ne tronçonne que les brindilles ou les petites branches donc inutilisée.

-       une balayeuse (1050 euros) ……… que l’on a du réparer avant que de la voir fonctionner. Mais était-ce bien nécessaire? et l’avez vous vu dans nos rues ? certains disent qu’elle n’est utile ….. que pour déplacer la poussière.

-       Et le must : un camion acheté 21.048 euros sans contrôle technique, avec un kilométrage non garanti et sans roue de secours. Naïf ou confiant notre 1er adjoint (Mr Merlin)? Auriez-vous dans ces conditions acheté un tel véhicule ? …. mais l’honneur est sauf selon lui car nous avons récupéré le triangle de signalisation du toit (490 euros HT) et revendu l’ancien camion  à un tiers 2000 euros. Belle affaire d’autant qu’à réception on a constaté des bris de glace (pare brise, feux arrière)

-       Trois (nous disons bien trois) tondeuses dont la toute dernière  a une taille de coupe si réduite qu’elle ne vous conviendrait même pas pour tondre votre pelouse

On y retrouve aussi notre vieux tracteur  que l’on a du réparer et bien sûr une ribambelle d’outils.

 

 

LE LARRIS BIENTOT LOTI

33 lots à bâtir d’une superficie moyenne de 750 M2. La commune vendra donc le terrain communal  au Larris pour une somme de 350.000 euros + 2 lots à la société FLINT qui se chargera de l’aménagement et en assurera la commercialisation.

Le projet Flint est séduisant mais est-il important d’urbaniser Ponchon au risque de voir notre village rural devenir village dortoir pour  banlieusards en mal d’air pur (et surtout de terrains moins coûteux) ?

Au sein même de notre groupe les avis sont partagés : Gérard Soufflet est « contre » craignant  que Ponchon et le Noaillais deviennent rapidement ce que sont devenus les villages du sud de l’Oise et du nord du Val d’Oise.

Jean-Claude Giret et Claudine Lefebvre ont les mêmes craintes que Mr Soufflet mais font valoir que si c’est pour transférer, comme cela a été dit au début de la mandature, le prix de la vente (350.000 euros) dans le budget assainissement, cela permettrait de diminuer le prix du M3 de l’eau. Alors, pourquoi pas ! ???

C’est alors que Mr le Maire devient évasif sur un tel transfert et que Mr Merlin, 1er adjoint sous- entend lui aussi que ces 350.000 euros pourrait être affectés à autre chose (sans plus de précision) et n’irait donc pas alléger le budget assainissement. Une telle volte-face sur les promesses faites offusque Mme Lefebvre et Mr Giret qui ne comprennent plus alors la nécessité de construire au Larris,et se rangent à l’avis de Mr Soufflet, ce d’autant que l’apport d’une population nouvelle nécessitera des investissements supplémentaires au niveau des infrastructures de la commune en même temps qu’elle en modifiera la sociologie.

Et vous, qu’en pensez-vous ? ….. et particulièrement vous qui demeurez au Larris ?

 

 UNE VALSE A TROIS TEMPS : CELLE DES DATES

Une réunion de conseil municipal à Ponchon, c’est tout un cérémonial (cf « l’Informateur N° 2 « ) et il en va de même pour établir le calendrier des réunions.

Après avoir attendu dans un silence solennel, Mr le Maire jette un œil sur l’horloge et déclare le bal ouvert. Comme tout bal « select » on commence par une valse : «  la valse des dates ». Il s’agit de définir la date de la prochaine réunion : chacun donne son planning et très logiquement Mr le Maire décide.

En avant la musique. La valse peut commencer, car si certains notent (les plus consciencieux ou les plus dociles ?), d’autres se disent que comme à l’armée, l’ordre vaut que l’on attende le contre-ordre. Mr le Maire nous envoie une photocopie pour nous confirmer la date ainsi définie …….. MAIS, il y a de fortes chances que l’on reçoive ultérieurement une autre photocopie pour nous informer d’une modification, …….. et même une autre photocopie encore un peu plus tard pour nous informer de la modification de la modification (réunion d’octobre/novembre 2016 par exemple)

Pour le public qui souhaiterait assister aux réunions comme il en a le droit, c’est encore plus difficile car l’annonce affichée dans les tableaux municipaux n’est peut-être pas celle qui convient. Il est donc souhaitable de s’informer le plus tard possible, quelques jours seulement avant la date de la réunion. Mais quels sont ces « quelques jours » quand on ne connaît pas la date de la réunion ?  Kafka au secours !

Il eut été si simple de définir un jour, une heure, une semaine de chaque mois et s’y tenir (exemple : 1er jeudi de chaque mois à 20H. Point final)

 

LA REDACTION DE L’INFORMATEUR VOUS SOUHAITE DE JOYEUSES FETES

ET VOUS PRESENTE SES MEILLEURS VŒUX POUR UNE ANNEE 2017 AVEC UN

COCKTAIL BONHEUR, ARGENT, AMOUR, SANTE ET UN ZESTE DE CHANCE. 

A CONSOMMER SANS MODERATION .

 

 

 

 

 

 

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